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approche systémique - Page 6

  • Des crises synchrones

    Pour aider la compréhension des phénomènes qui nous précipitent vers l'affrontement et l'effondrement de nos structures politiques, économiques, sociales etc. et qui nous poussent à NOUS prendre en main au delà des partis et des institutions incapables de se situer au niveau de l'enjeu, il me faut rappeler ceci :

    La mise en lumière d'une crise globale et de grands désordres qu’elles engendrent  s'accélère depuis une trentaine d'années avec une ampleur et une vitesse tout à fait inédites.
    Il nous faut prendre acte de l’impuissance et de l’incompétence de nos gouvernements successifs à y faire face.

    Nous en supportons à présent les conséquences, notamment une forte régression de la démocratie. A la base la colère gronde et l’explosion est proche.

    Nous savons aussi que les désastres annoncés sont généralement les meilleurs avocats des changements radicaux. Et nous en avons bien entendu rédigé le scénario.

    Cinq crises synchrones menacent l’ordre établi par la société globalisée :

    • Crise énergétique, facteur critique dans le maintien de la société.
    • Crise économique et financière provoquant une instabilité économique plus grande, des migrations économiques et climatiques, et d’immenses écarts de revenus entre pays riches et pays pauvres et au sein de ces pays.
    • Crise démographique, due aux différences de taux de croissance des populations entre les pays riches et pauvres, aggravée par l’expansion des mégapoles.
    • Crise environnementale due aux dégâts de plus en plus importants causés à l’écosystème global.
    • Crise climatique due notamment aux changements dans la composition de l’atmosphère terrestre.

    Ces crises s’accumulent et sont accélérées par trois facteurs multiplicateurs : la connectivité du monde globalisé, le potentiel létal croissant des groupes et états terroristes et les migrations.

    Nous allons vers un "tremblement de terre sociétal global". En identifiant ces crises pour ce qu’elles sont et en observant leurs effets cumulatifs, nous pouvons prendre les mesures nécessaires pour contenir la crise globale localement (agir local, penser global).

    • Choisir d’être les gagnants de la mondialisation (éviter les révolutions, les guerres civiles)
    • Se dégager du système économico-financier spécifique à l’Euro et retrouver l’autonomie de l’Etat souverain (prévoir la déconfiture de l’Europe).
    • Réguler et contrôler la démographie, l’immigration.
    • Se désengager des guerres conduites par l’Occident au Moyen Orient et en Afrique et recentrer nos troupes sur la lutte anti terroristes.
    • Avoir une vision d’ensemble du futur ; si effondrement il y a nous nous effondreront de l’intérieur (comparaison avec l’empire Romain). C’est donc en premier la maitrise de nos ressources intérieures et sur nos valeurs que nous devons nous appuyer pour échapper aux effets les plus destructeurs des « crises synchrones ».

    Compte tenu de la défection de nos élites c’est au peuple de France à se prendre en main. Et d’imposer à ceux qui voudront le représenter SON projet de société.

    C’est l’objectif de nos info-groupes.    

    Francis-claude Neri

    07 09 17

  • Hollande au pouvoir ?

    Hollande cristallise trop de désillusions. Il ne remontera pas.

    Martine Lecointre-Guillon

    Finalement, et pour ce qui me concerne, ce n'est pas l'individu Hollande qui me semble en mesure de "contrarier" la nécessaire "reconstruction sociale" que Marine est la seule à porter ...ou du moins la seule en mesure de NOUS faire accéder au POUVOIR.
    Ce qui menace c'est la collusion de la gauche avec le centre et une certaine droite qui depuis 50 ans fait le jeu de la gauche, de la globalisation et de l’islamisation de la France.

    Nous verrons bien si à FREJUS Marine à prit acte que sa stratégie de "dédiabolisation" et d'apaisement pour "séduire" cette "clientèle" des classes moyennes et des retraités, qui lui font systématiquement défaut au second, tour n'est pas payante.

    Nous verrons si elle s'engage résolument dans une reconstruction de la société qui ne peut se faire qu'à partir d'un projet de société interactive faisant une large place aux rétroactions sociales qui seules font "bouger" un système sclérosé et qui tourne en rond.
    Sans boucle de régulation et de contrôle, un système social à « commande directe » n’est rien d’autre qu’une dictature.

    Les réseaux sociaux lui donnent un énorme avantage si elle sait utiliser les possibilités de retour de l'information vers les centres de décision car sans boucle de rétroaction, il ne peut y avoir de PARTICIPATION et de corrections des inévitables erreurs stratégique, tactiques et surtout dans la construction du projet de gouvernance.

    J'espère que le message est passé ...FREJUS nous le dira

    Francis-claude Neri

    16 09 16

  • Que faire du système ?

    La notion de « systémique », c’est à dire la méthode de régulation et de contrôle des systèmes à bût, permet de comprendre ou plus exactement d’appréhender, au moins dans les grandes lignes, comment peuvent se « construire » des individus adaptables également capables d’adapter leur environnement au mieux de leur besoin et de leur intérêt.

    Des individus munis d’intelligence et d’initiative  « construites » dans ce sens et dans cette « finalité » ; capables en interférant entre eux de performances exceptionnelles

    Dans cet objectif, les ordinateurs  et les « réseaux sociaux »  deviennent des instruments de « démocratie directe ».

    Il est possible de former de véritables coalitions transfrontalières pour toute une variété de sujets et de se rassembler en « collectif de combat » dépassant les frontières sur des sujets brûlants comme l’immigration, la démographie, la mémoire collective, l’identité européenne, la financiarisation de l’économie.

    Dans la conjonction actuelle des méfiances envers les institutions, il s’agit de faire émerger, sur ces sujets en particulier,  une plus grande conscience politique chez les citoyens Français et bien évidemment Européens afin qu’ils distinguent sans ambigüité et sans hésitation les leaders nationaux, européens et mondialistes capables de conduire une politique en tenant compte des citoyens, de leurs attentes, de leurs besoins et servant leurs intérêts.

    La reconquête de NOTRE souveraineté nationale devrait être notre premier objectif car elle est devenue une notion plus que relative pour des Etats européens manquant de cohérence.
    Ce qui ne nous permet pas de répondre aux défis qui nous sont adressés.

    L’échéance électorale de la présidentielle  du 23 avril 2017 marquera un tournant dans l’histoire de la France et du monde.

    Ne nous laissons pas détourner de nos objectifs et sachons choisir celui ou celle qui nous propose le projet de société et le programme les plus en conformité avec nos attentes.     

    Francis Claude NERI
    12 09 16